chronique du jeu de l'amour
MON AVIS : une lecture court mais un franc parler,nous étions au 18 ème siècle au début de la renaissance avec leur belle robes chère dames, les messieurs avais leur pantalon de velours, et des petite chaussure a talon, veste en velours. un #romantisme est de toutes les époques, de tous les âges, ça donne envie de faire du théâtre pour exprimer ce qu'on ressent a l’intérieur de soi même. , Le Jeu de l'amour et du hasard utilise le thème du déguisement : pour arriver à ses fins, un personnage prend une autre apparence ; une jeune fille se travestit en « chevalier », un prince se présente comme un simple officier de son palais: ou un noble aventurier, mais ici le travestissement est poussé au paroxysme : non seulement les deux personnages principaux, Silvia et Dorante, se déguisent en serviteurs, mais il y a en plus inversion des rôles entre maîtres et domestiques. En outre, le jeu de dupes qui se crée est observé, et manipulé, par M. Orgon et Mario, qui « se donnent la comédie » (I, VI), voyant là « une aventure qui ne saurait manquer de [les] divertir » (I, III).
LA NOTE : 14/20